mardi 12 février 2008

Cote de popularité, ça chute, ça chute, ... - mais pourquoi ?

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Réjoui, ravi, notre Gaudillo ?

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Cote de popularité, ça chute, ça chute, mais pourquoi ?


Mais qu'est-ce qu'ils ont donc tous à lui en vouloir, alors qu'il fait déjà quasiment tout ce qu'il peut, et en promet toujours plus, tous azimuts ?


Deux doigts d'écologie, par ici, un peu de civilisation, par là, trois doigts de religion, chrétienne, certes, et une goutte de laïcité, positive, forcément, un peu de libération de la croissance, pour compenser le plan paquet fiscal, et son coût mirobolant, un petit clin d'oeil, pour ne pas oublier la maladie d'Alzheimer, une école de la deuxième chance, pour compenser les échecs scolaires prévisibles, faute d'enseignants, évidemment.

Et tout ça ne suffit pas ?



Vibrionnant, exactement, notre joyeux Président, qui les aligne, allègrement.
Pour les banlieues, un plan Espoir, qui dit mieux ?
Pour les retraités au minimum vieillesse, un à-valoir, une avance de 200 euros, déductible donc, qui va tomber un peu tard, au second trimestre, et une augmentation généreuse, - 5% de pas grand'chose, c'est mieux que rien, non ?

Bien sûr, il y a eu quand même une augmentation, celle de la rémunération mensuelle du président de la République, on ne pouvait quand même pas augmenter toutes les autres, faut pas abuser. Bien que, en cherchant bien, celle des chefs d'entreprise, celle des "grands" patrons comme on dit, ne se porte pas mal, assurément. Plus 40%  en 2007, selon l'AFP... Les mieux payés d'Europe, paraît-il, tout le monde ne peut pas en dire autant.


Et s'il y a des mécontents, on embauche dans la Police, 4 000 postes, largement compensés, il est vrai, par les suppressions de postes dans l'Education nationale et dans la fonction publique, allez !  Il faut savoir choisir, entre l'indispensable et le superflu, quand les caisses sont vides. Vides, voyez le déficit budgétaire, la balance commerciale, et quelques chiffres, par encore publiés, mais déjà dans les tuyaux. Car la Société générale n'est pas la seule,  et il s'en faut...



Qu'est-ce qu'ils ont donc, les marchands de tabac, les cafetiers, les taxis, les pharmaciens et les notaires, - la fin des privilèges, ils n'en ont pas entendu parler ? Tout est possible, ils n'y avaient pas cru ?



Côté politique étrangère, ça ne va pas mieux, et ses incursions sur la scène internationale n'ont pas non plus les résultats attendus, ni en Afrique, ni au Moyen-Orient, ni en Chine, ni aux Etats-Unis d'Amérique, ni chez nos voisins européens, tous des jaloux. La presse internationale se gausse, et n'est pas la seule à se gondoler.



Mais qu'est-ce qu'ils ont, tous à se moquer, plus ou moins sarcastiques.
A décrier ses petites et grandes manoeuvres, pour éviter la débâcle aux municipales prochaines, - dans son fief de Neuilly, c'est bien parti, pourtant.

Pendant ce temps-là, il paraît que le prix des SMS va baisser, mais c'est une autre histoire, - encore que ...

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http://sarkostique.over-blog.com/
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http://sarkozix.canalblog.com/
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http://www.20minutes.fr/diaporama/289-6-0-La-dynastie-Sarkozy.php
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http://afp.google.com/article/ALeqM5iydITyCoUwESSC7t4iXbxFpLJT3A
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