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● Ras le bol général, et donc, grève générale !
● Depuis qu'il préside aux destinées de la République, à qui donc profitent les réformes, les fameuses réformes de Sarkozy ?
A qui donc a-t-il distribué généreusement des subsides substantiels, sur fonds publics, des bonus et des remboursements d'impôts, des exonérations de charges, des primes à la casse, des prêts sans contrôle, des avantages discrets ici et là, des privilèges réservés au bénéfice des plus riches, - ce qui finit, quand même, par peser sensiblement sur les revenus, les salaires, et les moyens de tous les autres, sans exception.
Franchement, la gabegie, ça suffit.
● Hold-up sur le futur, le petit Sapeur Camembert creuse ardemment, inconsidérément des trous de plus en plus gigantesques, à peu près partout, et nous laissera le souvenir d'une ardoise non seulement bien salée, mais bien maquillée.
Il produit comme seul résultat ainsi un héritage, - de chômage, de précarité, de pénurie, de déficit grave du budget, et de dette publique pharamineuse, - sans parler de l'image d'une République affaiblie, appauvrie, d'une démocratie oublieuse de ses principes, et d'un gouvernement inéquitable et injuste.
● Hold-up sur le futur, le petit Sapeur Camembert creuse ardemment, inconsidérément des trous de plus en plus gigantesques, à peu près partout, et nous laissera le souvenir d'une ardoise non seulement bien salée, mais bien maquillée.
Il produit comme seul résultat ainsi un héritage, - de chômage, de précarité, de pénurie, de déficit grave du budget, et de dette publique pharamineuse, - sans parler de l'image d'une République affaiblie, appauvrie, d'une démocratie oublieuse de ses principes, et d'un gouvernement inéquitable et injuste.
Franchement, la gabegie, ça suffit.
Pour rétablir la situation, et la rendre présentable pour les prochaines présidentielles, les très astucieux conseillers du gouvernement avaient pourtant crû trouver la solution idéale, il suffisait de plonger la main dans la poche des comptes sociaux, une fois de plus.
Pour rétablir la situation, et la rendre présentable pour les prochaines présidentielles, les très astucieux conseillers du gouvernement avaient pourtant crû trouver la solution idéale, il suffisait de plonger la main dans la poche des comptes sociaux, une fois de plus.
Et bien non. Franchement, ça suffit.
● Massivement, les organisations syndicales jouent la prudence, évidemment, et se contentent de suivre le mouvement, soucieuses de le canaliser. Elles n'iront donc à la grève générale qu'à l'appel de la colère populaire, - celle des jeunes et des vieux, tous unis, des fonctionnaires soucieux de l'état du service public, des personnels hospitaliers, des futurs chômeurs et des oubliés de la croissance absente, promis à la précarité, sans oublier les salariés de toute part, pas seulement les industries automobiles et pétrolières, les journalistes et les policiers, les pompiers, les pompistes et les éboueurs, liste non close.
Franchement, la gabegie, Sarkozy, ça suffit.
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● Massivement, les organisations syndicales jouent la prudence, évidemment, et se contentent de suivre le mouvement, soucieuses de le canaliser. Elles n'iront donc à la grève générale qu'à l'appel de la colère populaire, - celle des jeunes et des vieux, tous unis, des fonctionnaires soucieux de l'état du service public, des personnels hospitaliers, des futurs chômeurs et des oubliés de la croissance absente, promis à la précarité, sans oublier les salariés de toute part, pas seulement les industries automobiles et pétrolières, les journalistes et les policiers, les pompiers, les pompistes et les éboueurs, liste non close.
Franchement, la gabegie, Sarkozy, ça suffit.
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● Ras le bol général, et donc, grève générale !
L'enjeu n'est pas seulement la discutable réforme du système des retraites, qui mérite pourtant d'être révisé, comme le devraient être l'ensemble des comptes sociaux, leur assiette, d'une part, et leur usage, d'autre part.
Non seulement l'Etat ne remplit pas ses obligations, (pas plus que Sarkozy ne réalise ses chères promesses), ni ne rembourse ses dettes, et pas seulement en matière de retraites.
Il se croit autorisé à pomper allègrement dans l'ensemble des comptes sociaux, et dans les budgets de la Santé, de l'Education publique, des collectivités locales, entre autres.
Quant aux droits élémentaires des gens ordinaires, non seulement il s'en moque, éhontément, mais en plus, il s'apprête à leur présenter l'addition, lourde et sévère, sans se gêner.
Il est largement temps de lui faire entendre raison, franchement.
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Et partout ailleurs, bientôt ?
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Appel à la grève générale en Guadeloupe et en Martinique
Et partout ailleurs, bientôt ?
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le blogue du
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le blogue du
24 10 2010
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:: Un blog SGDG
sans garantie du gouvernement
et parfaitement futile, évidemment :
http://pacoalpi.blogspot.com/
ou encore, si vous voulez :
http://pacoalpi.posterous.com/
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:: Et quelques textes de référence :
http://www.scribd.com/Paco%20Alpi
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